Après quelques décennies de vie citadine, j’ai choisi d’habiter dans le Cantal. Depuis lors, ma conviction reste intacte : l’avenir appartient à la ruralité. De tout temps, les campagnes ont appris à se débrouiller de peu, elles sont les pionnières de la sobriété et de la résilience auxquelles nous invite aujourd’hui la crise environnementale. Si un autre monde est possible, alors ici, il semble un peu plus possible…
...qui explore la proximité, qui tisse de l'intime avec les territoires, qui accueille le paysage habité.
...qui crée du partage et du commun, qui nous unit et nous relie, qui nous ouvre à nous-même et à l'autre.
...qui nourrit nos corps et nos esprits, qui nous ancre à la terre vivante et stimule nos imaginaires.
La 4ème fête de la narse s’est tenue le dernier week-end d'août… et la fête fut belle !
Pionnier de la microbiologie et fondateur de la LDH, Émile Duclaux semble le grand oublié des Aurillacois
À la jubilation générale, l’International Air Transport Association (IATA) claironne 5 milliards de passagers en 2024.
Je m’appelle Philippe Gilles, j’ai 54 ans, je suis ingénieur de formation, j‘ai grandi à Toulouse et vécu à Marseille, et j’ai exercé plusieurs métiers entre numérique et pédagogie.
J’habite désormais dans le Cantal, âpre territoire montagnard, loin, très loin de la grande ville. Au milieu de ces grands espaces, une intime conviction est née : le monde de demain s’invente à la campagne.